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4 conseils pour devenir une “pitching machine”

Le pitch, c’est l’art de convaincre.

Il s’agit d’une présentation courte et synthétique de votre produit, de votre service ou, de manière plus globale, de votre entreprise. La difficulté d’un tel exercice réside dans ses contraintes : le temps est limité, les propos doivent être percutants, et vous devez sembler à l’aise pour renvoyer une image gagnante à votre interlocuteur.

Prenons l’exemple avec un pitch à destination d’un journaliste – Trois minutes. Cinq, au mieux. C’est le temps que vous avez à disposition pour convaincre le journaliste que avez en ligne que votre produit est le plus performant, que votre porte-parole à moultes choses intéressantes à raconter, ou que votre événement est le meilleur, au choix.

Pour réussir celui-ci voici 4 conseils qui feront de vous un communiquant hors pair :

  • Structurer – Vous devez le convaincre en sachant que le temps d’attention qui vous est accordé est très court. Il vous faudra par conséquent être précis et impactant. Cela insinue que tout bon pitch doit être structuré. En effet, comme dans une dissertation, vous devez établir une stratégie pour séduire votre correspondant.
  • Préparer– Ne sous-estimez pas le temps de préparation de votre pitch – que vous ayez trois, quatre ou vingt minutes, le discours doit être rodé. Répétez et pratiquez 30 fois jusqu’à vous sentir prêt. Afin de vous sentir encore plus à l’aise,  n’hésitez pas de demander à un collègue conciliant de vous écouter et de vous dire ce qu’il en pense, il est toujours bien venu d’avoir le retour de quelqu’un d’exterieur.
  • Etre rapide & concis – Nous l’avons évoqué plus haut il faut être rapide et convaincant, les personnes en face de vous n’ont pas de longues minutes à vous accorder. Le pitch ascenseur ne porte pas son nom pour rien : vous avez entre 30 secondes et 1 minute avant de laisser filer votre interlocuteur hors de l’ascenseur, autrement dit de laisser filer son attention. Assurez-vous d’intégrer uniquement les éléments essentiels pour que votre correspondant comprenne rapidement de quoi vous parlez et quelle plus-value vous pouvez lui apporter.
  • Sourire – Oui même si il s’agit d’un appel téléphonique la personne à l’autre bout du fil doit sentir que vous êtes à l’aise et souriant. Si vous voyez que celle-ci est réceptive n’hésitez pas même à glisser une petite blague. La conviction est contagieuse alors on croit à ce que l’on dit !